Petit rappel sur la création du constructeur italien: Un atelier de montage est installé dans les faubourgs de Milan, à Portello, en 1906 par le français Alexandre Darracq. Elle est reprise par la Societa Anonima Lomabrada Fabbrica Automobili (ALFA, Ugo Stella) en 1909. L’ingénieur Nicola Romeo reprend la marque en 1914 qui devient la SA Italiana Ing. Nicola Romeo et C. en 1918. Elle devient la SA ALFA ROMEO en 1930 et la ALFA ROMEO Spa en 1946. Absorbée par l’IRI Instituto di Ricostruzione, encore indépendante en 1960 par l’intermédiaire de la Finmecanica), racheté par Fiat en 1986. Le Sigle : En 1002, l’archevêque de Milan, Arnophle II, part pour Constantinople avec, dans ses bagages, un grand serpent en bronze, cadeau du roi (référence à l’ancien Testament, « celui qui, étant frappé par le fléau, regardera le serpent vivra »). Aux croisades, les milanais partent en terre sainte, porteurs de l’enseigne blanche agrémentée du serpent. En souvenir de leurs victoires, on introduit dans la geule du serpent le Sarrasin Rouge vaincu à Jérusalem. A la fin du siècle, une croix rouge sur fond blanc est ajoutée. Deux drapeaux séparés forment le symbole de la commune de Milan, puis des Visconti. La couronne royale est placée sur la tête du serpent en 1336 |
L'alfetta
coupé, conception et modèle
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Première
ispiration de Giugiaro (1966-1968) /
First idea of Giugiaro / It looks like a Maserati Ghibli ? Of course he's the designer of this other GT too... |
La direction d'Alfa Romeo observe leur nouveau modèle
/ the president and the direction watching the new
car
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L'une
d'entre elle est peut-être la vôtre / one
of this car it's perhaps your own car
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On
aimerait bien en prendre une pour y mettre
un revêtement anti-corrosion digne de ce nom !! / if we could take one to put a good protection for rust ! |
Les
images ci-après sont issus d'un site japonais apparemment très
bien fait, mais avec un texte bien entendu illisible. Dommage...
The images below come from an intersting but indescribable japanese site. what a pity ... |
Modèle
GT : pas de tampon caoutchouc
sur les pare-chocs inox, pas d'aération sous la calandre plastique,
pas de "moulure GTV" sur les ailes arrières |
Modèle
V8 : moteur du superbe coupé
Montréal, jantes de l'alfa 33... Le monstre. Très rare,
il est donc très, très cher... |
Modèle
GTV 2000 L : tampons caoutchouc aux pare-chocs, empreinte GTV sur l'aile, prise
d'air sous la calandre à l'avant. Sans doute le plus homogène...
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Modèle
turbodelta : quelques chevaux de
plus, des ouïes sur le capot pour respirer. Un moteur qui en
donne donc plus, mais malheureusement peu diffusé.
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GTV
2L phase 2, puis 3 : Le
GTV avec un léger restylage passe les années 80 sans
une ride, avec du confort en plus. |
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GTV 2,5L : 2 cylindre en plus, une bosse sur le capot, des jantes à 5 trous, un coffre plus petit pour cause de réservoir d'essence déplacé, une batterie qui prend la place à l'arrière du réservoir des versions 2L, des freins plus costauds. Le tour est joué vous avez la une grande routière sportive. Les amateurs de petites routes et d'enchaînement rapides préfèrent néanmoins le 2L, moins lourd, "plus maniable". Mais écouter le chant du V6 sans succomber, il faut s'attacher à un poteau tel Ulysse et le chant des sirènes... GTV
2,5L : a new model appeared in the begining
of the eighties. 2 more cylinders, rims with 5 bolts, a smaller boot,
trunk because there is now the fuel tank inside. |